La rencontre du Shiatsu a été décisive dans ma vie. J’ai suivi à partir de 2008 un cycle de formation à l’École Iokaï Shiatsu Paris, sous la direction de Christine Breton, grand maître Shiatsu. J’y ai trouvé une libération personnelle et une capacité à me recentrer pour recevoir et prodiguer des soins. Pour acquérir davantage de précision dans les techniques et approfondir cet enseignement subtil, j’ai décidé de suivre la formation une deuxième fois, ce qui m’amène aujourd’hui à ressentir aisément l’énergie de votre corps avec mes mains.
J’ai découvert le Yoga en 2005 dans des cours collectifs. Après avoir essayé diverses approches toniques, dont l’ashtanga ou le vinyasa, j’ai pratiqué avec Thomas Pasquon pendant 4 ans. Chacun de ses cours m’amenait vers un nouveau ressenti et un apaisement profond. Très inspiré par son enseignement, j’ai suivi la même formation que lui, avec Patrick Tomatis, à l’École Française de Yoga (EFY, fondée en 1972). Au cours des quatre années de formation à l’EFY, j’ai rencontré d’autres grands professeurs, comme Annemarie Hébeisen avec qui j’ai découvert l’intensité d’une pratique simple, toute en douceur et en fluidité.
Indissociable du Shiatsu, dont le ressenti passe par un état méditatif, la méditation est entrée dans mon quotidien il y a plus de dix ans. Je me suis d’abord essayé au Zazen, une pratique japonaise entièrement silencieuse, qui m’a paru austère pour un débutant. Grâce au yoga, j’ai surmonté les premières difficultés en explorant des pédagogies plus progressives. Aujourd’hui, ma pratique croise les approches Zazen et Yoga où je privilégie l’observation de la respiration pour calmer l’agitation du mental.
Formé par le groupe Thermes marins de Saint-Malo, connu pour la qualité et la variété de ses soins, j’ai œuvré pendant 3 ans au Spa Aquatonic Val d’Europe. Cette expérience très enrichissante m’a permis d’acquérir un répertoire varié de manœuvres : des mouvements doux pour envelopper les muscles, une approche en profondeur pour libérer les tensions ou des mouvements circulaires pour un relâchement profond. La plupart des techniques proviennent des arts du massage balinais ou indien (ayurvédique).
Ce rituel thaïlandais m’a été transmis par l’école Santayarea de 2010 à 2011, dans le cadre de la formation professionnelle « Intervenant SPA et Bien-Être, un titre de Niveau IV ». Surnommé « Yoga du fainéant », le Thaï au sol me permet de croiser les expériences acquises en Yoga et en Shiatsu. Il requiert de la part du praticien une souplesse gestuelle et une capacité à ajuster la pression aux tensions musculaires.
